I remember reading a few years ago about a village in China where archeologists have found a few Roman ruins. The theory is that a Roman army was captured by the Parthians, used as mercenaries further east against and captured by the Persians, then used against and captured by the Chinese, and then they were finally allowed to rest.
Here is what I know (although I am too lazy to translate):
“(…) les Romains, qui voulaient à tout prix contourner l’obstacle parthe, cherchèrent à atteindre la Chine, cette fois-ci par la voie maritime. La Géographie de Ptolémée nous apprend quelles erreurs de distance faisaient les Romains en situant la Chine plus loin qu’elle n’était. De même, on ignorait tout de la fabrication de la soie. Le secret en sera gardé longtemps. Cependant, vers 120, des acrobates romains au service d’un roi birman, capables de cracher du feu et d’interchanger les têtes des vaches avec celles des chevaux, arrivent en Chine par la route de Birmanie. Toujours d’après le Heou-Han-chou, « les communications furent ouvertes pour la première fois » en l’an 166, date à laquelle « An-Toun », Antonin le Pieux, envoya un « ambassadeur », par mer, qui offrit à l’empereur des défenses d’éléphant, des cornes de rhinocéros, des écailles de tortue, ce qui, pour les Chinois, était monnaie courante et dut leur faire mal augurer d’un Empire aussi pauvre ! Il ne semble pas qu’au total des relations régulières se soient établies. De la même manière, Pan Tch’ao avait essayé en 97 d’envoyer « Kan-ying en ambassade au Ta-ts’in (Rome). À son arrivée au Tiao-tche (?) près de la grande mer, Kan-ying voulut pousser plus avant. Les capitaines des navires à la frontière occidentale du Ngan-Si (Iran) lui dirent que la mer était extrêmement étendue et que, pour effectuer le voyage aller et retour, il fallait trois mois avec vent favorable et, si le vent était faible, deux ans environ. » Les Parthes firent si bien qu’ils découragèrent Kan-ying qui repartit. Ainsi, les deux Empires extrêmes tentèrent vainement de se joindre. Ce n’est qu’au début du IIIe siècle, ou du Ve selon certains, que les Chinois nous donnent, toujours dans le Heou-Han-chou une description très déformée de l’Empire romain, les détails justes concernant la poste et les routes, l’abondance des villes et la justice impériale.”
(Michel Rouche, Les Empire universels IIe - IVe siècles).
“Tats’in”, by the way, may be translated as “The other China”.
I am sure there are many more stories, although, off the top of my head, it is the only ones I am familiar with. What is pretty sure, however, is that there always was some form of contact between East and West, even after the fall of the Roman Empire. For example, in the XIIIth century, the Pope sent an ambassador to Mongolia (his journals are a fantastic read), and when he arrived, he found that there were already many Christians in the Mongol capital. There followed about 100 years of contact before the ottomans blocked all possibility of contact.
jc